Je surnote peut-être un poil tant j'ai été déçu en bien. Il faut dire que j'y suis allé à reculons, motivé seulement par la pluie d'étoiles de Jean-Luc. Alors que De la guerre, le précédent film de Bobonello, était un abominable pensum, cet Apollonide, à la structure moins lâche qu'il essaie de nous faire croire, captive de bout en bout.
Maintenant, il y a quelques affèteries (mais elles fonctionnent assez bien), un discours pas très clair et une représentation qui est peut-être plus de l'ordre du fantasme contemporain que de la réalité historique, mais à la fois, cette idée de simulacre travail le film à plusieurs niveaux, comme dans un générique fait de photo en noir-et-blanc qui ne sont pas des archives, mais des photos des personnages. |