) a dit:| Medianeras c'est mitoyennes, comme les façades borgnes des immeubles de Buenos Aires. Entre considérations sociologiques, architecturales et urbanistiques, on suit deux solitaires névrosés en quête d'âme soeur dans la mégapole déshumanisante. Le film souffre un peu de ce qu'il dénonce. C'est froid, sans une solide structure globale et une recherche constante de la forme peut-être au détriment d'un souffle romantique. Cela dit, même si les réflexions ne sont pas de très haut vol, il y a quelques trouvailles, quelques piques bien vues et de bonnes séquences. Une certaine affinité avec le personnage principal de web designer et le charme de Pilar López de Ayala, sorte de version en jeune danseuse espagnole de Madeleine Stowe aidant, je mets deux bonnes étoiles. PS: Ne pas utiliser True Love Will Find You in the End de Daniel Johnston dans une séquence qui se voudrait optimiste, car aux dernières nouvelles Johnston est toujours malade et seul. |