) a dit:| 2 et demi. Pas mal, mais fait trop penser à un croisement entre plusieurs films de Spielberg (ou produits par lui). En vrac: E.T., The Goonies, War of the worlds... En fait, les scènes autour du groupe d'ados et du film qu'ils essaient de faire sont les meilleures. Quelques jolies choses également dans les moments plus spectaculaires. |
) a dit:| Vu que Vincent rabote une demi étoile, je vais pousser à quatre. Est-ce un chef-d'oeuvre? Probablement pas. Est-ce une sorte de collage nostalgique? Pas complètement. Mais entre la qualité du scénario, une photo et un production design super chiadés et un cast sans fausse note, on prend beaucoup de plaisir. Alors oui, la musique n'est pas terrible, la logique des évènements est plus que suspecte et Abrams est un peu kitch quand il tente de sortir du moule mainstream qu'il maîtrise, mais c'est quand même plusieurs classes au-dessus du tout venant en matière de film à grand spectacle hollywoodien. Ce qui est marrant aussi c'est que c'est 10 fois moins gamin que son Star Trek. |
) a dit:| Un solide trois étoiles. Elève Abrams continue sa nette progression depuis le très insipide M:I3 (qui faisait de lui un peu l'artisan de la réflexivité creuse), avec ici une compréhension élevée des enjeux psychanalytiques qui ont fait la force des productions de son mentor, sans parler de la maîtrise du recyclage thématique et iconographique. On regrettera simplement le temps mort du milieu du film et quelques fautes de goût ça et là. Doit persévérer encore. |
) a dit:| C'est marrant j'ai trouvé ça complètement nul, infantile, famillial, poussif, platement nostalgique et trés mal écrit! |
) a dit:| Pas un chef d'oeuvre mais "juste" un bon film hollywoodien ce qui est "si" rare en cette époque de déliquescence totale des majors... Un bon script, un bon cast et des bonnes "production values"...la recette est si simple mais semble pourtant si ignorée par les producteurs actuels... à l'origine du film une rencontre entre deux générations de cinéastes autour de films 8mm de jeunesse dans lesquels les îdées primaient sur les moyens...un certain âge de l'innocence aujourd'hui disparu mais évoqué ici avec une sincérité certaine |