Film: Le moine

Frederico () a dit:
C'est un peu cousu de fil blanc dès qu'on arrive au 2/3 du film, mais il y a une certaine élégance narrative, une affectation langagière et une puissance fabuleuse - ou devrais-je dire parabolique? - qui fonctionne. Moll se la joue vaguement pompeux-pompier, avec titre de Giallo qui zoom, ouvertures et fermetures à l'iris, superpositions, surexpositions et tout cela est régulièrement naze, mais parfois assez ultime (quelques éclairages dynamiques, des éblouissements dans les passage de l'obscure au clair, quelques raccords gonflés). Mais, au final, ce qui compte c'est que face au poids du récit, au terrible masque de Valerio, au charisme de Cassel et à l’angélisme de Japy, les facéties de Moll ne pèsent pas bien lourd.

Je pousse à trois.