) a dit:| Adaptation d'un roman italien. On suit la relation de deux outcasts qui ont été traumatisés dans leur enfance, se sont rencontrés à l'adolescence, séparés en tant que jeunes adultes puis, dans l'acte final du film, réunis à nouveaux. Avant l'acte final, on saute d'une époque à une autre et d'un personnage à l'autre. Pseudo chiadé, c'est remarquablement inintéressant car pour qui a vu la bande-annonce (et même peut-être pour ceux qui ne l'ont pas vu) il faut à tout casser 15 minutes pour comprendre les traumatismes initiaux et du coup on se retrouve avec une poignée de personnages antipathiques (la seule exception étant l'héroïne à travers es âges) auxquels il arrive des choses inintéressantes sans la moindre tension dramatique. Super. Et ça dure 2 plombes. Alba Rohrwacher, la fille lesbienne dans Io sono l'amore, a dû risquer sa santé pour ce film quand on voit la maigreur alarmante qu'elle affiche en fin de métrage quand elle est au bout du rouleau. Ça n'en rend l'entreprise que plus antipathique. Quelques bons passages de-ci de-là quand même (à commencer par un générique giallesque à souhait) sauvent le beurk. |