Ma note n'a finalement qu'assez peu de rapport avec la qualité du film. Elle est surtout due au goût et à l'intimité que j'ai pour/avec le sujet et l’indéfectible fraîcheur de Rachel McAdams. Alors oui, dès la visite chez Pomeroy on sait comment les choses vont se finir et oui tout cela n'est pas très bien amené et oui la sus-mentionnée McAdams en fait parfois des wagons, mais voilà. 2.5 poussé à 3.
PS: Une fois de plus, il faudra que Charles m'explique la misogynie du film, car le personnage principal pourrait tout aussi bien être masculin. On aurait pu imaginer que sa relation au travail soit stigmatisée parce qu'elle est une femme, mais ce n'est jamais le cas et l'autre victime du workoolisme est Pomeroy. Si le film doit être quelque chose, c'est raciste: le seul personnage afro-américain est une idiote analphabète pistonnée! |
) a dit: