2,5. La structure par petites histoires et la thématique globale – la violence sociale et les rapports de domination qui conduisent certains à se "rebeller" de façon violente eux aussi – fait immanquablement penser à "Touch of sin". Mais le propos est assurément moins "profond" que pour le film chinois, car il manque toute la part contemplative de celui-ci.
On rit peu, en effet. Je ne sais pas si le but du film est de déclencher l'hilarité. Il me semble qu'on est plus dans un travail autour de l'absurdité à laquelle mène (ou pourrait mener) cette violence "ordinaire" qui s'insinue dans les rapport sociaux. |