) a dit:| Je suis à deux doigts de mettre quatre à ce film de Cameron Crowe pour sa maitrise du payoff. On investit du temps et des émotions dans différentes lignes narratives, et on attend d'elles non seulement une résolution, mais un retour sur investissement, une plus-value émotionnelle, un payoff. Crowe nous propose un zoo qui doit être retapé pour pouvoir rouvrir au public (si tant est qu'on trouve les fond, qu'on soit homologué et que les gens soient intéressés), un adolescent qui ne communique plus avec son père, une famille qui doit faire le deuil d'une mère. Et si en cours de route les péripéties sont tantôt touchantes, tantôt rigolotes, la réussite du film vient d'un quart d'heure final qui n'est fait que de payoffs astucieux, puissants, bouleversants. Préparez les mouchoirs! Sur cette notion de payoff et de puissance liée à leur accumulation, se référer au maître du genre: Love Actually. |