Pendant une moitié du film, on apprécie courtoisement une situation originale (autant narrativement que géographiquement) servie par un bon cast et la caméra d'Agnès Godard, puis le film prend un contour qui informe toute sa première moitié et teinte toute la seconde d'une force inattendue. Je ne vais pas à trois pour quelques maladresses d'écritures et une résolution par trop stylisée. |
Vraiment classe, mais quelle vision déprimante! Je peine à m'en remettre. |
très belle relation sur le fil entre les deux personnages principaux, mais le film souffre de la tension entre sa volonté d'être à la fois un conte (dixit la réalisatrice) et aussi une critique sociale ce qui créé un certains nombres d'invraisemblances au niveau du scénario le rapport entre le haut et le bas est assez bien traité même si pas du niveau de High and Low de Kurosawa bien sûr, et je trouve quand même la vision de Meier sur le rapport de classe dans l'accès aux stations de ski très simpliste (forcément si elle n'a fréquenté que Verbier ça n'aide pas...) |