Si il y a une distance ironique... ce n'est pas drôle. Si c'est au premier degré... c'est très mauvais et très très laid. Les auteuristes hardcore trouverons des parallèles avec la vie de Coppola, de son fils décédé et de sa petite-fille, qui a d'ailleurs collaboré au scénario et serons peut-être sensible au charme ludique bien qu'éculé de l'auteur de roman en panne d'inspiration qui se met à écrire le récit des évènements teintés de fantastique qui l'entour (60% de la fortune de Stephen King?). |