Déçu en bien par cette série Z bien débile. Mais bon... quand la bonne surprise c'est que ce n'est pas complètement nase, on est quand même pas bien haut dans l'échelle. Même dans ces circonstances (péripéties absurdes, dialogues médiocres), Emile Hirsch demeure un acteur à la présence étonnante. NB: 3D très discrète et vo sans sous-titre pour une séance des plus confortable. Toujours le même paradoxe: c'est quand la 3D ne sert à rien qu'on la préfère. Vivement que ça crève et qu'on n'ait plus à souffrir des dommages collatéraux qu'engendrent ces projections (filtre polarisant créant un double d'image même dans les projection 2D). |
Bonne idée : le fait qu'on ne voit pas les monstres autrement que comme des forces perceptibles via la lumière ou la mise en marche des machines (transistors, bagnoles…) Il y a Hirsch et le setting urbain russe. Euh c'est tout et, faute de goût, c'est la plus jolie des deux filles qui meurt (la blonde du deuxième Transformers). Je mets une étoile pour le fait que c'était la rencontre mythique hasardeuse N°1 de l'année. En effet, nous sommes dimanche matin, seule vo de la semaine et on croise Fred, les Scholer, Philippe… Un petit côté NIFFF chez Pathé. |
Pareil, à part que c'est la blonde du premier Transformers (et que la brune est celle du nouveau Judge Dredd). |