1,5: X-Men, c'est un peu cette copine avec qui on reste parce qu'on ose pas trop lui dire que c'est fini... Mais en même temps, une VO en 2D, cela ne se refuse pas. En fait, je devrais dire ce "copain" car hormis le score très réussi de John Ottman, la seule manière de passer le temps durant ce film interminable, c'est de privilégier la lecture queer à laquelle il se prête si bien. Imaginez quand même que le méchant gay ancestral du film se fait réveiller de son sommeil éternel dans le trou du cul du monde par la lumière qu'une une femme (voilée et à qui on a ôté le souvenir de son hétérosexualité) laisse y pénétrer. Je n'en dis pas davantage sur le Professeur Xavier et son école du contrôle des pulsions homos ou sur les moments où Apocalypse remercie justement Xavier de l'avoir laissé le pénétrer, pour ce suspense-là subsiste au moins. |
je tiens à dire que cette critique m'a fait beaucoup rire promis, ma contribution à ce cher site va s'améliorer dans la 2ème partie d'année, ce qui ne sera pas très difficile j'en conviens... |