) a dit:| 1,5: ça commence bien, pendant env. 25 minutes. Et puis ensuite ça devient pénible et moralisateur (en se croirait dans les années 1950), le film procédant sans trop soucis de nuance à une condamnation généralisée de l'alcool, la drogue, la sexualité, le tabac et la pornographie pour célébrer in fine, sur un mode bien hygiéniste, l'instinct masculin et le lien fondamental père-fils... Plutôt dégueulasse. Reste le travail d'orfèvre de Zemekis (cadrage, montage, direction d'acteurs, photo), qui demeure très classe, je trouve. |
) a dit:| Je suis d'accord avec Charles sur le fond, mais trouve que le basculement moralisateur arrive très tard (ce qui ne fait, c'est vrai, que renforcer l'infâmie du film : quand arrive la scène finale – putain même Spielberg n'aurait pas osé je pense). Je dois dire que la composition énorme de Denzel – et la célébration jouissive, au plan du comique – de son insupportable personnage; de surcroît flanqué de la délicate Kelly Reilly, rend le film des plus attachants. |