) a dit:| 2.5. L'étape d'exposition est un peu longue, trouvé-je. Le récit démarre vraiment quand le personnage de journaliste incarnée par Kimberlain fait son entrée en scène. Ensuite, il y a une forme de férocité que j'ai trouvée plaisante – et avec laquelle Dupieux donne un prolongement, il me semble, à "Yannick", autour des liens entre rire et violence, en poussant jusqu'au bout la dimension déshumanisante du supposé paradis techologico-ludique dans lequel une partie des gens vivent depuis 25 ans. |
) a dit:| Pas drôle, pas intéressant formellement ou structurellement et, de façon assez logique, c'est difficile de dire des choses pertinentes sur ce qu'on ne connaît visiblement pas. Deuxième film de l'année avec un personnage principal de ressentant pas la douleur après Novocaine. Est-ce que la génèse des deux films remonte à l'épisode de House MD avec un cas similaire? |