Quelques idées intéressantes avec lesquels Coogler ne fait pas grand chose, il faut dire qu'il semble n'avoir aucune confiance dans la capacité du public à suivre le récit, usant et abusant de flash-back inséré comme guide-âne. |
Le film s'essouffle dans son dernier tiers. Mais les deux premiers tiers m'ont vraiment convaincu. Et il y a mine de rien une petite réflexion autour du rapport entre liberté et "mal" (la condamnation morale de l'Autre), en lien avec toutes les musiques "sataniques" qui tirent leurs origines d'une culture non occidentale... |