Dès l'ouverture sur Céline, le film apparaît comme une version amalfitaine de la Grande Belleza, mais j'ai trouvé que tout cela manquait cruellement d'inspiration, et les pérégrinations du personnage principal - jeune et féminin ici - n'ont suscité qu'un ennui certain en moi. Sur ce personnage mythique, symbole d'une ville qui repose en partie sur son tombeau, on aurait aimé voir un film bien plus ancré en elle, à la manière de ce que Nostalgia avait magnifiquement réussi. |