Le dernier Assayas. La partie mémorielle et l'évocation de la beauté unique du printemps du confinement sont belles, même si Assayas n'a pas la chance d'avoir une belle voie comme celle d'Amalric par exemple. Toute la partie sur son personnage hypocondriaque incarné par Macaigne est assez triste malheureusement. |
C'est souvent verbeux, mais j'ai quand même bien aimé. Le personnage de Macaigne m'a plutôt fait rire. |