) a dit:| Je le disais, 23h d'avion, c'est long... 1,5, à signaler comme première production Netflix à peu près potable dans le registre des tentatives des revivials usinées de "IP" des 80s à destination des nostalgiques abreuvés de streaming. Sur les plans esthétiques et narratifs, le film est à l'interface entre l'intrigue du premier et la facture du deuxième (très marquée par les éclairages Simpson/Bruckheimer), et je ne suis pas loin de penser que la réussite très relative du film doit beaucoup à la présence de Jerry Bruckheimer au générique. Et Murphy reste assez drôle, même si on voit vite les limites de son humour dans un contexte qui tolèrerait mal ses anciennes blagues homophobes par exemple. |