La force de la première moitié du film réside principalement dans la liberté de la forme et dans la rencontre des histoires des deux personnages du récit cadre. Cette virtuosité s'estompe dans la deuxième moitié et les résolutions des deux niveaux de récit sont particulièrement faibles. On est pas loin du plus long gag carambar du monde... |
chapitres 7 et 8 assez faibles mais le 6 est me fait rester à trois ce chapitre 6 est en effet douloureux, mais permet à l'héroïne de retrouver un orgasme et aurait donc pu cloturer un film en une partie. Il se termine aussi sur un moment animalier et une réplique de Seligman assez hilarante, le rattachant au ton de la première partie. |