2,5 Dernier film de Ken Loach, un peu mélo, un peu gentillet. Je pousse à trois pour la capacité du réalisateur à insuffler de l'humain dans toutes les situations. |
Puis-je condamner un film dont je suis sorti en larmes? Comme chez Moretti, une fin en forme de défilé nostalgique des combats d'antan, mais avec, ici, une force, une sincérité profondément humaine comme le relève Jean-Luc. Certes, moins puissant au plan du constat social et économique que les deux précédents films, mais peut-être qu'un peu d'espoir – même naïf – est-il de temps à autre nécessaire? |