Vu au Black Movie mais sorti en salle mi juin à Lausanne. Ma note festivalière: Drame japonais. Une famille déjà sous tension (les parents de messieur peinent à accepter son épouse, pour des raisons qui apparaissent au fil du récit), explose sous le choc d'un drame. Les retours d'anciens amours complexifient encore le vivre ensemble. Une harmonie pourra-elle être trouvée? Solidement fait et on part dans quelques tangentes inattendues. Ajout de juin: Pas très mémorable vu que je suis passé à deux doigts de revoir le film par accident. Du coup, je sanctionne en arondissant le deux et demi vers le bas. |
Mais c'est le nouveau Fukada, que je me réjouis beaucoup de voir après toute la série récente de haut vol (notamment le dyptique "Suis moi je te fuis"/"Fuis moi je te suis", Le Soupir des vagues, L'Infirmière, etc.) Et ça sort à Lausanne, magnifique!!! |
L'un des Fukada les plus marquants, qui parvient à osciller entre burlesque des corps et figuration glaçante de la fatalité. |