| La fausse bonne idée de ce thriller franco-suisse est de conserver le point de vue de sa protagoniste principale tout au long du film. Cette dernière étant isolée dans les montagnes grisonnes, tous les autre personnages sont cantonnés au hors-champs: e-mails, téléphones, archives vidéo et photos, traces de passages et, en théorie, tension lié à l'idée que des agents épient depuis les bois. En théorie, mais en pratique on s'ennuie ferme car si il est peut-être possible de tricoter un récit trépidant avec ces contraintes (mais j'en doute - on sait que l'inverse est possible avec Le Dossier 51), le duo de scénariste n'y parvient pas. Peut-être aurait-il fallu tirer du côté de l'abstraction? Mais pas certain que l'équipe soit armée pour ce genre de projet. |
) a dit: