Fabuleux, quand même, ce Panahi. Tout ce qui a trait aux mésaventures villageoises tient du génie. |
Ça reste unique, mais j'ai préféré les deux films précédents. Les multiples niveaux de mise en abîme sont notamment plus une source de confusion que de vertige. PS: Étonnant point commun avec R.M.N. : l'emploi de multiples langues auquel on ne prend pas garde immédiatement et qui n'est pas signifié par le sous-titrage. Ici, ça se joue entre azéri et farsi (et turc, mais là c'est plus clair de par le contexte). Et dans les deux films les ours rôdent (ou pas) ! |
Surtout en effet pour les scènes au village. |