La présence d'Antonio de la Torre au générique ne doit pas vous faire tomber dans le panneau (comme moi) : vous n'allez pas vous retrouver dans un frénétique rollercoaster façon Sorogoyen de la grande époque, mais dans les turpitudes du polar euro-cheap avec intense cachetonnage (la palme à Gourmet – vu récemment dans un emploi pas très éloigné, d'ailleurs, dans Rouge – qui a rarement été aussi mal servi par un rôle). |