Ce nouveau film de Jérôme Bonnell (attendu depuis le sympathique et dynamique A Trois on y va) se révèle comme d'habitude très bien construit, mis en scène et interprété, avec un concept narratif : presque toute l'action se déroule dans la même rue, le héros (Grégory Montel de la série 10 pour cent) demeurant dans le périmètre situé autour de l'appartement de celle qu'il aime encore et dont il n'arrive pas à complètement accepter que leur histoire est terminée (Anaïs Demoustier). Un sans faute, mais il manque probablement quelque chose de plus dingue ou singulier pour que le film décolle vraiment. |