Je n'ai jamais beaucoup aimé Leos Carax et je suis allé voir ce film un peu à reculons. Je ne m'attendais vraiment pas à une oeuvre aussi impressionnante. |
la filiation avec Tommy bien sûr, mais l'opéra rock prend ici une forme narrative plus organique qu'une série de chansons/tableaux tirées d'un concept album ma réserve principale est liée au programme-même du film, et qui est aussi une de ces forces bien sûr, à savoir une expérience totale durant laquelle on ne respire pas: presque tout le film est ici chanté, sans respirations, ce qui diminue la force émotionnelle de certaines scènes malgré cela, ne serait-ce que pour la scène de cloture belle à pleurer... |