Film: Grâce à dieu

Robert () a dit:
intéressant de regarder la différence de traitement entre ce film et Spotlight par exemple

la limite du film c'est quand même sans doute sa trop grande inscription dans le réel, tant il aurait pu en fait s'en abstraire et garder sa force

le voir avant le 7 mars n'était ainsi pas la même chose que le voir à partir d'aujourd'hui avec cette première décision de justice qui est maintenant tombée, ni quand l'autre décision de justice tombera plus tard dans l'année


Laurent () a dit:
Une habile construction en trois temps différents, trois rapports à l’affaire. Le ventre mou du film, c’est le personnage de Ménochet, assez déplaisant, et surtout moins original que le premier (un récit froid, en pièces épistolaires rapportées, à l’image de son protagoniste) et moins touchant que le troisième (certes un peu trop cliché « peuple » en souffrance, mais porté par les performances éblouissantes d’Arlaud et de Balasko – la relation mère-fils est très juste ai-je trouvé).