Vu au FIFF Le dernier Kim Ki-Duk est un grand film pour Charles-Antoine vu qu'il est question de castration, de greffes de penis, de sado-masochismes, de transferts, etc, etc. Le tout avec la contrainte totalement artificielle de l’absence de dialogues (ce n'est pas pour signifier l'incommunicabilité entre les personnages, vu qu'ils communiquent par lettres, par SMS et même par téléphone, mais là ils vont sur le balcon, du coup ils causent mais on ne les entends pas...). C'est tellement grotesque que la salle était pliée de rire dans les grandes scènes dramatico-érotiques. |