Faible, évidemment, y compris dans la manière de vouloir rejouer les bonnes idées du premier volet (très pénible reprise de la magnifique idée du récit oralisé par Pena mais joué en play back par les personnages dont il reprend les propos en discours direct). Malgré tout quelques figures visuelles et comiques assez brillantes, mais qui ne justifient pas le déplacement, comme le jeu sur les changements d’échelles évidemment, surtout la séquence hilarante « Frères Marx au cirque", à l’école, où le héros est rapetissé à la taille d’un ado; et aussi le moment où le héros est soudainement "possédé" par la femme de Douglas. |