J'étais fou de joie, après une dure journée de cours, de profiter sur le fil du dernier film catastrophe avec Gerald Butler, Dans la brume que ça s'appelait. Mais dans la salle, arrivé alors que débutait le bitage, une mauvaise surprise m'attendait : Romain Duris sur l'écran. Ah oui il y avait une sorte de festival du cinéma français en ce moment, quand même ils auraient pu avertir de ce changement. Je sors, croise une hôtesse, me plains, et elle me dit : "Si, la Brume, avec Romain Duris, si si c'est bien ça Monsieur". Stupeur : je m'étais gourré, avais confondu. Donc j'y suis allé quand même. Pas trop mal l'idée de la brume qui recouvre Paris, jusqu'aux derniers étages des immeubles, seuls encore vivables. Et a priori un (joli petit) lot de consolation puisque… Olka Kurylenko interprète le premier rôle féminin de ce Duris-vehicle (première fois que je la vois jouer dans sa langue nationale, elle qui est… Française!!!!) Mais bon voilà, Romain Duris… tout est dit. En plus l'idée de l'enfant (le leur) malade coincé dans la brume MAIS dans une sorte de sas protecteur MAIS limité au plan de sa viabilité sur le moyen terme… est un truc sadique vraiment pénible, surtout lorsque SPOILER SPOILER la mère (O.K.) se sacrifie pour aller recharger la pile. Le personnage de Duris est effondré, nous aussi, vu que le principal intérêt de regarder jusqu'au bout a disparu. |
Confusion pour moi aussi. Quand j'ai vu ce titre dans ta liste, j'ai pensé que c'était un rattrapage tardif du très beau film homonyme de 2012 (V tumane - mon N°2 au Grottino 2013)... |
J'aurais préféré! On peut voir? |