ça commence très fort, très beau… et puis ça faiblit.
Décidément, ce Lelio parvient toujours à créer le trouble d'une fort belle manière (ici avec l'aide de cette manière de coller à des points de vue rapides et rendus opaques par le flou, les amorces, sans parler du halo caractéristique de la photo, sur les de la musique de Mathew Herbert et… d'une belle scène d'"écoute" du Lovesong des Cure), mais ne tient jamais vraiment la distance. Ici les romantiques ne peuvent qu'être déçus par la conclusion plein de pragmatisme et de froideur.
|