) a dit:| Drame iranien sur une entrepreneuse trentenaire célibataire dont les aspirations personnelles se retrouvent broyées de façon implacable par les circonstances et sa famille. Si le scénario est habile, sa mécanique n'émeu pas vraiment. On notera qu'un des élément scénaristique est une romance (un amour de jeunesse de retour à Téhéran courtise l'héroïne). Je pense que c'est une première dans le cinéma iranien qui arrive jusqu'à nous. Du coup, entre les limites autorisées au cinéma par la censure et les pratiques de la sociétés contemporaine iranienne en matière de relations hommes-femmes, on à l'impression qu'il nous manque pas mal de clefs pour comprendre ce qu'on voit. Je pousse à trois pour certains éléments symboliques et le sourire de Sahar Dolatshahi. PS: Titre anglais - Inversion - est apparemment la traduction littérale du titre original. Que celui qui le comprend me le signal! Le titre français à le mérite d'évoquer deux éléments du film, l'auto-détermination menacée de l'héroïne et la pollution de l'air de la capitale, source des problèmes familiaux (les bronches de la matriarche réclament l'air de la campagne). |