Incroyable platitude.
Le discours est aussi assez pénible: ainsi ces “tests“ qui jalonnent toute la dernière partie du film, où l'enfant voit toujours juste, dès la fuite de l'abri contre laquelle il s'était manifesté (ça le sauvra, puisqu'il fera confiance au «bon» père de la fin), alors que son père (Mortensen) tombe, lui, dans une méfiance sans nuance qui le perdra. Un peu couillon et naïf, quand on pense à la brutalité, montré durant toute la première partie du film, de cet univers voué aux anthropophages. |