) a dit:| Dans le genre "caméra diégétique" ce The Visit va un pas plus loin que le fondateur Blairwitch Project car il y a pas mal d'éléments (surtout dans la première partie) sur le tournage, sur ce qu'on veut/peut montrer ou pas, etc. Ce petit coté méta couplé avec un thème d'horreur assez original (la vieillesse) donnent pas mal de sel au film avant qu'on retombe un peu dans des choses plus classiques. Pas très efficace sur la comédie, ni sur l'effroi, pas particulièrement bien ficelé au niveau du scénario (on place au chausse-pieds des traumas qui, un peu comme dans Signs, vont servir aux protagonistes - truc inutile et lourdingue) le film souffre aussi, comme pas mal d'autres utilisant le principe d'un captation intégrée dans la fiction, qu'on ne comprend ni l'objet qu'on nous montre (qui fait le montage?) ni, à partir d'un certain moment, pourquoi le tournage continue. Deux obstacles élégamment évités par Jeruzalem (cf. Black Movie 2016) et ses Google Glasses. |