Version française et provinciale de "Lost in translation": ici, c'est Lost dans l'univers déshumanisé des appartements vides + fantasme de la liaison incestueuse avec un petit supplément de chair. Moins méprisant à l'égard de la culture de masse que son homologue étasunien, mais impuissance identique à dégager un réel constat sur le plan du rapport amoureux. |