Sur-noté, mais une très bonne surprise car en utilisant des éléments classiques du film de kung-fu, le scénariste (Chris Chow, seul crédité et c'est son premier scénario!) les désamorces ou les pervertis pour en faire disparaître les relents racistes ou souligner la vacuité du culte de la force. A l'opposé, on peut accuser le film d'être un brin gnian-gnian et de proposer quand même des "méchants" (les représentants du big-business occidentaux et japonais). |