Mof bof... Chang Kaige n'est pas Zhang Yimou. C'était déjà le cas à l'époque des drames réalistes en costumes, c'est toujours vrai pour les fresques épiques avec combats. Mais bon, comme dans L'Empereur et l'assassin, il y a dans ce Wu Ji quelques moments et quelques idées à sauver. A signaler au passage l'overdose d'images de synthèse rarement de bon aloi et l'étonnante Cécilia Cheung dont la beauté est inversement proportionnelle à la quantité de maquillage qu'elle porte. |