) a dit:| Petite hongroiserie dont la bande annonce passe en salle en ce moment... |
) a dit:| Je suis un peu mal pris. Le visionnement du film en avant-première a été précédé de la lecture d'une lettre du réalisateur qui l'a posé comme encore plus Super Vieux Con que notre Jean-Luc national. Limite godardien, sans la filmo et l'excuse du grand âge. Difficile de savoir quel impacte exacte ce préambule a eu sur ma réception du film. Ai-je fais un peu la fine bouche durant la projection? Quoi qu'il en soit, j'en suis sorti en n'étant pas totalement emballé. La mise en scène ne manque-t-elle pas un peu de virtuosité et de rigueur? La quête du personnage principal est-elle véritablement nécessaire à l'intérêt du film? Si le sujet est original, certaines des représentations ne sont-elles pas dangereusement archétypiques? La fin est-elle réellement satisfaisante? Malgré ces interrogations et ces réserves, il me semble difficile de mettre au film moins de quatre étoiles pour sa nature exceptionnelle. On pense à Le Fils pour la caméra collée au protagoniste, à Requiem pour un Massacre pour un personnage plongé dans un atroce chaos qui le dépasse et encore à The Round-Up pour l'impuissance face à une autorité absolue et arbitraire. Il n'y a pas des masses de films dans l'année qui peuvent se vanter d'invoquer les spectres de tels chefs-d'oeuvres. EDIT: Autre réserve, Purcell est limité à la bande-annonce! |
) a dit:| oui on pense à ces grands films mais je trouve que ce dispositif radical et le rythme du film ne produisent en définitive pas "l'expérience unique" vendue par le distributeur du film present à la projection |