Toujours ce mélange Moorien efficace entre poignance, humour caustique et rentre-dedans bien gonflé (ici on va soigner des sauveteurs du 11 septembre à Cuba). Reste l'écueil habituel d'un propos qui compte plus que la réalité (il faut une sacrée dose de mauvais foi pour ne trouver aucun défauts aux systèmes de santé français et anglais). |