Je laisse traîner ça là un moment et après je le balance d'un pied au cul en 2006 là où il appartient. TIME WARPING KICK ACTION BABY!!!!!!!!! J'ai fini par le voir quand même.... il y a quelque chose de fascinant dans le jeu de Baron Cohen et de Ferrel, mais j'ai ri peut-être trois fois en tout. J'aurai mis "bof" si ce n'est pour ce plan magnifique, même si tronqué (le réalisateur n'a par remarqué ce qui se passait à l'écran?), où le père marche au milieu de la route et fait du stop sur les deux voies en même temps. |
J'aurais aussi aimé faire les louange de Ricky Bobby, mais seul problème, je crois que le film est sorti l'an passé... donc disqualifié. |
Je ne sais pas si je l'ai orthographié juste, mais je crois que le film n'apparaissait pas encore sur le site. Donc, voilà, il fait quand même souligner tout ce que cette pantalon(n?)ade a de réjouissant, de vraiment drôle (ce qui est finalement rare dans les comédies, non?) : parmi les flashes qui subsistent: l'arrivée jazzy, au milieu d'un pub white trash, de Sasha Baron Cohen en précieux pilote français de formule 1, une séquence de repas familial d'anthologie (Tarantino devrait prendre des notes: leur impro dépasse largement son pseudo-«Art of ze flow - I am a writer more than a filmmaker»…), etc. |
Ça faisait longtemps que je n'avais pas vu une comédie aussi bien foutue, surtout dans sa propension à nous faire croire à des retours de flamme moralisante (booooooh) pour les éteindre d'un coup sec par une pirouette vulgaire et amorale (aaaaaaaah). Et Ferrell! Est-ce qu'il a une plaque sur le Hollywood Boulevard? Si c'est le cas, il lui en faut une deuxième, et vite! Mention spéciale également à Sacha Baron Cohen, méconnaissable sans ses attributs pileux, qui offre le contraste parfait à Ricky Ferrell Bobby Will. |