Saul Dibb n'est pas Joe Wright, mais Kiera Knightley reste Kiera Knightley. Je retiendrai surtout une jolie construction: Ralph Fiennes qui ouvre et ferme le film en regardant par une fenêtre la jeunesse innocente. |
Plutôt 2,5 |
Pour l'interprétation de K. K. , joliment indignée et celle de Fiennes, qui accomplit le tour de force de conjuguer bêtise et autorité, tout en maintenant une forme de charme animal. Sur le terrain du biopic sirupeux historique post-féministe BBC, le film joue la carte de la sobriété (cadres posés, classiques) et de l'inscription intelligente des corps dans des bâtisses imposantes (probablement de vrais palais). Tout ce que ne fait pas le très cheapos Other Boleyn Girl. |