) a dit:| Pour quelques rares gags drôle (étrangement c'est surtout le palestinien du news stand qui m'a fait marrer), une brève apparition de Kevin "Doug dans Weeds" Nealon (le paniquard du community watch) et la fort jolie Emmanuelle Chriqui. Et c'est bien payé.... |
) a dit:| Sans doute une des bonnes réussites de Sandler, avec une mention spéciale pour l'acharnement sur Mel Gibson, inlassablement dénoncé comme le "White supremasist" de la masculinité américaine! |
) a dit:| Enfin! Nulle arnaque romantique, du moins presque, dans cette merveilleuse fantaisie grotesque, exceptionnellement maîtrisée pour un comique outrancier de ce type! Un rythme infernal, des gags hilarants, une verve paillarde! La cadence impressionnante du film s'essouffle malheureusement lors des séquences de coiffage (quoique, en y repensant…) et de la rencontre sportive (incongrue, un poil ah ah ah en-dessous) |
) a dit:| beaucoup plus vulgaire qu'on aurait pu l'espérer ! la gérontophilie très explicite force un certain respect certes pas un grand film mais quand même hilarant à plus d'une reprise le message du film semble assez similaire à celui de Munich et McEnroe qui danse le disco à torse nu c'est en bonus |
) a dit:| Pas aussi bien écrit et rythmé qu'une comédie ferrellienne. Mais un film qui m'a étonné par une sorte de naturel dans la vulgarité. Je ne m'attendais pas à qqch d'aussi... frontal. Ça rappelle les meilleurs Eddy Murphy (les "Nutty professor", notamment, en moins scato et en plus sexe). Du point de vue du discours, même s'il ne faut pas s'attendre à grand-chose, bien sûr, il y a un aspect très intéressant, qui réside dans une invitation lancée aux frères ennemis israéliens et palestiniens à reconnaître leurs racines culturelles communes, que ce soit dans une version "mass culture" (le goût pour les boissons sucrées et gazéifiées, Mariah Careh) ou plus traditionnelle (l'excellente idée – un peu vite balancée – des deux super ennemis se réunissant à travers un chant folklorique ancestral afin de vaincre les suprématistes blancs débiles). Autre aspect: le véritable méchant, ici, est un promoteur immobilier américain. Très discrètement, par certains aspects, c'est l'Occident qui est montré comme le principal fauteur de troubles au Proche-Orient... pas idiot, et même gonflé. Ah, à noter la séquence où commerçants israéliens et palestiniens surenchérissent à qui mieux mieux pour affirmer qu'ils se taperaient bien la femme de Bush, celle de Clinton et... de McCain et d'Obama!... |