Etonnant, Desplechin cède aux modes et fait dans le "vintage". Films plutôt plaisant à découvrir, plutôt dans la lignée de que l'on connaît (par rapport à Jimmy P.), mais ce film sur le rapports à la mère et aux femmes m'a semblé proposer un discours très daté voire un peu anachronique. |
Après vérification, il y a trois Paul Dédalus dans les films de Desplechin, mais si il y a une part autobiographique en eux, il ne sont pour autant pas le même personnage. Ces films sont plutôt des brassages et des recombinaisons d'éléments pré-existants (ainsi, la grande maison de ce Trois souvenirs et aussi celle de Un conte de Noël, une Esther et un cousin Bob sont dans Comment je me suis disputé, etc). |
cette info de Fred ne fait qu'ajouter à l'aspect vraiment fascinant de ce film magnifique, même si parfois un peu bancal, qui m'a bien sûr fait penser à ce chef d'oeuvre qu'est les deux anglaises et le continent il y a dans ce film une grande poésie brute portée par une merveilleux Quentin Dolmaire |