Déçu en bien. Je ne m'attendais pas à grand chose après avoir lu quelques critiques négatives et finalement on a quand même bien rigolé. Il y a même quelques tours de force avec cette séquence de toilette notamment où même si on sait exactement comment la séquence va se dérouler, on sait qu'on va aller vers quelque chose de poignant, le scénario et Galifianakis parviennent quand même à nous y amener avec pudeur et sobriété. Et directement derrière: le négatif de la scène. Sinon, je pense qu'on a de la chance (?) d'avoir vu ce film dans ce montage, car je ne peux pas croire que le film arrivera jusqu'à son pressage DVD sans que quelqu'un porte plainte quelque part à cause des plans de masturbation canine. |
La perspective auteuriste tient la route! Toujours une certaine tenue, mais un cran en dessous du précédent film du même réalisateur : après du presque screwball, on passe là à une comédie sentimentale un peu plus risquée, entre Francis Veber et du néo-Chaplin… les séquences d'action, avec zique bastringue et mine d'y croire, foutent pas mal le film en l'air, avouons-le. Un certain cachet “à la Hangover” toutefois dans quelques séquences (le test d'actorat dans les chiottes; les mioches de la dealer; le café…) |