C'est le film avec Joachim Phoenix qui fait croire qu'il est devenu taré. Tout du long, on se demande pourquoi on s'afflige ce spectacle pathétique, dénué de but véritable. Et arrivent une ou deux séquences magnifiques qui justifient le visionnage (la performance de rap à Vegas, d'une violence et d'une force d'humiliation qui dépasse celle de Funny People; tous ces téléphones portables qui se dressent face au bouffon crucifié…) |
J'ai remis en tête de liste ce film vu il y a quelques mois. Voyant le vert, je me suis demandé si c'était en fait sorti à Lausanne? |
Euh... je ne suis pas sûr... |