La Caméra D'Or à Cannes pour ce film mexicain. On demeure tout le métrage avec cette fille “quelconque" chez elle, recevant divers invités et notamment son amant, avec lequel elle vit une relation de plus en plus mortifère. On pense beaucoup à Dernier Tango mais en version cruelle (même logique de progression dans la violence qui évoque Salo). Peut-être le film le plus déprimant que j'aie jamais vu. Une très grande réussite narrative. |