) a dit:| Une relative belle surprise, compte tenu de la faiblesse des derniers Ozon. Certes, on a droit ici à une femme réduite au rôle de corps transitionnel (reliant, via sa progéniture, deux frères/amants absolus), à une pénible romance pédé (galoches goulues en discomobile, merci bien!), et l'inénarrable acteur-chanteur façon playboy Hugo Boss réenvisagé tapette joue vraiment comme une merde, c'est le moins qu'on puisse dire, mais le film apparaît comme très bien structuré, l'axe sus-mentionné passant notamment par l'évocation musicale du frère disparu (guitare solo diégétique dans le premier plan, qui devient extradiégétique, puis joué hors champ par le héros, puis chanté au piano par celui-ci, puis repris dans le score extradiégétique, etc, pour terminer, dernier plan, susurré à l'oreille du nouveau-né). Assez classe. |