) a dit:| Assez classe, même si évidemment trop théiste pour moi... |
) a dit:| C'est quand même fou que cet actioner néo-eighties (yes, des ralentis de la mort, ça faisait longtemps, yes un score Vangelis - en fait Atticus), qui lorgne du côté de Besson et a repris à peu près tout à tout le monde, de Mad Max à Pitch Black, offre plus de profondeur, de sens plastique et d'émotion que le sommet de platitude du prétentieux The Road. Pendant un bon moment, le film est même assez classe, avec un bel étirement du temps. Dès l'arrivée dans la ville, ne perd pas son sens de l'action, mais devient plus quelconque. Fin super-larmoyante. copier/coller de In the Air: Après State of Play et le dernier Woody Allen, encore un duo vieux mentor/jeune fille «produit de notre époque de dégénérés». |
) a dit:| J'oublais: les fans de Gary Oldman en roue libre, qui pensaient qu'avec son rôle de rabbin exorciste (sic!) dans le très (petite-)culotté «The Unborn», l'homme avait atteint le sommet de son art, en auront pour leur argent! |
) a dit:| Un film pour Robert à plusieurs égards! A part que c'est le film par et pour les chrétiens paranoïaques made in USA, c'est plutôt bien troussé. |